résumés

volume 3 chapitre 13

Kyouko se sent oppressée par le jeu de Ren. Mais elle ne perdra pas ce combat !
Le directeur est impressionné de voir que Kyouko essaye de résister à Ren, alors qu’elle ne sait pas jouer. D’ailleurs, pour une débutante…. Ça devient très intéressant (le directeur se tient le menton).
Kyouko continue la scène. C’est à son tour de parler. Mais Ren tourne le visage : « la sonnerie de la cloche ».
Kyouko tend alors l’oreille (vraiment, son oreille s’agrandit), mais n’entend rien : elle vient encore de se faire contrôler par Ren ! Il a même réussi à dire sa phrase à elle. Elle n’en revient pas. C’est exactement l’expression que le directeur voulait voir. Ruriko lui dit qu’elle aussi elle peut avoir ce genre d’expression.
Le directeur en doute : si Kyouko joue si bien, c’est parce que Ren la dirige, donc si Ruriko veut avoir ce genre d’expression, elle doit déjà faire en sorte que Ren joue sérieusement avec elle.
Ruriko demande ce qu’elle doit faire pour que Ren agisse ainsi.
Le directeur lui demande ce qu’elle ferait si elle était à la place de Kyouko : serait-elle capable d’oublier la douleur et de s’agenouiller ?
Ruriko, scénette « Si j’étais elle » : On voit une Ruriko faire des simagrées au directeur : j’ai mal à la jambe, c’est injuste, changez la scène !
Le directeur continue : Ce qui rend Ren sérieux, c’est la détermination de Kyouko, digne d’une pro. On voit qu’elle a une grande fierté pour son travail.

Pendant ce temps, Kyouko est ailleurs, dans ses souvenirs, au restaurant, à genou et souriante devant les clients : tu dois l’endurer encore un peu. Jusqu’à ce que le client parte. Encore un peu.
Ren, qui continue de jouer, et maintenant debout et de dos. Puis se retourne. Et reste interdit. Le directeur aussi. Paniqué, il ordonne d’arrêter la scène et se précipite vers Kyouko. On arrête la scène ici, s’il vous plaît ! Arrêtez de jouer !
Kyouko est au bord du malaise, couverte de sueur, le regard vide, le visage pâle.
Le directeur lui répète que c’est fini, qu’elle peut arrêter.
Mais Kyouko semble ailleurs. Elle répond : « pas encore, ce n’est pas encore fini », en fixant toujours droit devant elle.
Ce qui rappelle à Ruriko ses débuts en tant que chanteuse : elle aussi ne voulait pas s’arrêter, parce qu’elle n’avait pas encore atteint la perfection qu’elle recherchait. Malgré sa fièvre, et l’inquiétude de sa manager, elle voulait continuer à chanter.
Le directeur essaye de raisonner Kyouko : il comprend ce qu’elle ressent, mais son corps n’est plus en état.
Kyouko répète qu’elle ne peux pas quitter sa place avant la fin.
On voit les paroles de Ruriko débutante : Ce n’est pas assez, s’il vous plaît, laissez moi essayer encore une fois ! Et on la voit s’incliner en suppliant devant sa manager et son producteur (ou autre métier de ce genre, ce n’est pas précisé).
Juste après ses débuts, quand elle n’était pas encore célèbre, et qu’elle n’aimait que chanter, qu’elle y mettait toute sa force, tous ses sentiments…
On voit une jeune Ruriko le visage resplendissant de joie, puis sa carrière qui évolue, et son caractère qui a changé.
Le directeur essaye encore de raisonner Kyouko : elle a fait tout ce qu’elle pouvait.
Mais Kyouko, délirante, dit que le client est encore là.
Tout le monde => O_O ?

chap13

Avant que le client s’en aille… elle ne peut pas… le directeur comprend et demande à Ren de sortir de scène. A la seconde où Ren n’est plus sur scène, Kyouko s’évanouit.
Le directeur demande qu’on appelle un docteur. Et deux assistants sont impressionnés : Kyouko est vraiment un personnage extrême.
Ruriko a le sentiment d’avoir perdu. Mais elle n’a pas encore montré tout ce dont elle était capable.
Elle appelle le directeur, et le supplie de la laisser réessayer. Ruriko est enfin devenue sérieuse et déterminée. Le directeur est ravi : c’est exactement ce qu’il voulait entendre.

Plus tard. La manager de Ruriko est au chevet de Kyouko et s’excuse sincèrement pour sa fracture. Mais Kyouko lui dit que ce n’est pas la peine, et puis son os n’est pas fracturé… et le visage noir, et fixant le vide : ce qui la gêne, c’est plutôt que ça a doublé de volume (entre temps, elle est allée à l’hôpital, et ils l’ont plâtré).

Yashiro et Ren parlent de Kyouko : c’est normal qu’elle soit énervée, elle s’est évanouie, on l’a emmené à l’hôpital, et à son retour, le rôle a été attribué à Ruriko.
Ren pense que de toute manière, le directeur n’a jamais sérieusement envisagé de donner le rôle à Kyouko. Et se tournant vers le directeur : « N’est-ce pas ? »
Le directeur a un petit sourire embarrassé. Il est aux ordres du président, et changer d’actrice principale équivaudrait à signer son arrêt de mort. Il voulait juste laisser Kyouko défier Ruriko pour que cette dernière commence à avoir peur, et qu’elle change.
Yashiro se dit qu’il a traité Kyouko comme un cobaye, alors qu’elle a tant enduré.
Le regard sérieux, le directeur ajoute qu’il ne pensait pas que les choses se dérouleraient ainsi.

Dans la salle où Kyouko se repose.
Ruriko vient de lui donner un tampon : « 100 points, parfait, a fait un excellent travail »
Kyouko=> O_O
Pourquoi ?
Ruriko lui répond que c’est parce que Kyouko ne sert à rien, mais qu’elle fait beaucoup d’effort, donc par sympathie/ pitié, elle lui donne ces points.
Kyouko a un regard incrédule du genre « elle se moque de moi ? » ce qui énerve Ruriko. Après tout, Kyouko a essayé de lui prendre sa place, et pour ça, elle récolte des points ?
Ruriko s’énerve : Kyouko doit croire qu’elle a pris avantage du fait que Kyouko soit partie à l’hôpital pour lui piquer le rôle, que Ruriko est méprisable.
Kyouko est étonnée : non, c’est normal, après tout, elle a perdu, puisqu’elle s’est évanouie au milieu de la scène (et intérieurement, ajoute qu’en plus, elle s’est faite manipuler par Ren).
*Kyouko mode sérieux et volontaire, légèrement flippant*
« Et peu importe la raison, celui qui perd connaissance durant un combat n’a aucune aptitude à survivre ! C’est le monde sauvage, le destin du faible est de se faire manger par les lions ! »
(et pour elle même, elle ajoute qu’en plus, à son réveil, ce sentiment inconnu était toujours dans son cœur)
Ruriko est d’accord avec la vision bestiale du monde de Kyouko. Elle ajoute qu’elle la trouve un peu moins embêtante maintenant. Kyouko est étonnée et contente. Ruriko se reprend immédiatement : mais qu’est-ce que c’est que cette expression ? Ferme la bouche, ça m’énerve ! Je m’en vais !

Pour finir, Kyouko se dit que ce qui la rend amère, c’est de s’être laissée manipuler par Ren comme une gamine.
Kyouko et Ren se regardent de loin (regard sérieux).
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