résumés

volume 2 chapitre 06

Après avoir raté son audition, Kyouko décide de travailler à une station essence, hésitant encore sur ce qu’elle devrait faire.
Elle se remémore les paroles de son logeur, « je pensais que tu étais quelqu’un de plus déterminé », ainsi que celles de Ren, sur le courage. Elle réfléchit à une autre manière d’intégrer le show-business, comme comique payé 700yen par spectacle. Et déprime toute seule
Partie dans ses délires : scènette « Pourquoi je dois absolument intégrer LME »
Fuma : « Quoooii ? Tu es plus talentueuse que moi maintenant ?! Tu es chez LME ?! »
Fuma recule, éblouit par le talent de Kyouko
« Mais il paraît que leur casting est très difficile. »
« L’éclat de cette star (Kyouko) m’envoie dans les ténèbres »
Fuma, à genou devant Kyouko, et Kyouko lui caresse la tête avec son pied : « Quel idiot je suis pour avoir dit d’une femme aussi incroyable qu’elle faisait tapisserie, et de l’avoir abandonnée !! »
Kyouko, toute fière : « A genou, et lèche mes bottes, alors je te pardonnerai »
Kyouko conclut la scènette en courant dans tout les sens, paniquée, et tombe dans un escalier.

De retour au restaurant où loge Kyouko. Le patron et la patronne discutent de Kyouko, si elle va vraiment abandonner le show-bizz ou non. Lui répond qu’elle sera bientôt de nouveau d’attaque.

Kyouko à la station service, se tient la cheville, douloureuse. Sa collègue lui dit d’aller voir un docteur, mais Kyouko répond que ça ira, elle est quelqu’un de fort.
Shotaro passe alors à la télé, dans une pub de cosmétiques. Kyouko passe en mode démon, puis en mode désespérée (elle a toujours adoré les cosmétiques).
Sa collègue se demande si sa réaction est due au fait qu’elle est une fan de Shotaro.
On les appelle pour s’occuper d’un van. Manque de chance pour Kyouko, c’est celui de Shotaro et de sa manager
Délire de Kyouko : prendre une clé à molette, se précipiter sur Shotaro et l’envoyer valdinguer en le frappant au visage. « J’aurai adoré faire ça »

chap06

Mais elle se retient parce qu’elle n’a pas envie qu’il la voit faire ce genre de boulot, que la distance entre eux deux est encore énorme.
Pendant ce temps, sa collègue demande un autographe, que Shotaro en mode popstar lui offre gentiment. Et elle lui parle de sa pub, et lui dit que Kyouko l’a tellement aimé qu’elle en tremblait (alors qu’elle tremblait de rage).
Shotaro s’approche de Kyouko, qu’il n’a pas encore reconnu, avec son sourire commercial, espérant recevoir encore plus de compliments.
Kyouko se cache sous sa casquette, et lui répond avec un faux sourire et une voix altérée qu’il n’était pas seulement cool, mais aussi très beau, et qu’il doit être difficile de trouver un homme meilleur que lui
Image : Shotaro, au comble du bonheur, Kyouko, au comble du désespoir d’avoir dû prononcer de telles paroles.
Mais elle se dit que c’est toujours mieux que de lui avoir envoyé un point dans le figure et du coup, révélé son identité.
Shotaro s’apprête à partir, quand la collègue de Kyouko l’appelle pour lui dire qu’elle devrait au moins lui serrer la main. Kyouko fait celle qui n’a rien entendu, mais sa collègue commence à l’appeler par son nom « Mogi… ». Avant qu’elle ait pu finir, Kyouko se précipite sur elle, pour lui mettre la main sur la bouche, perdant au passage sa casquette, et se retrouvant nez à nez avec Shotaro. Panique totale, elle se retourne et s’accroupie, certaine d’être découverte.
Mais non, Shotaro ne l’a pas reconnu, et dit qu’il accepte de lui serrer la main. Et le fait.
Kyouko n’en revient pas.

Il remonte dans son van avec sa manager. Alors Kyouko l’appelle « Sho, tu ne te souviens pas de moi ? »
Shotaro : « Désolé, je ne peux pas me souvenir du visage de toutes mes fans. »
Kyouko est sidérée. D’accord, elle a changé d’apparence, mais quand même !
La manager de Shotaro, elle, a un sentiment de déjà vu.
Ce à quoi Shotaro, frimeur, répond que 80% de ses fans ont les cheveux colorés et sont très enthousiastes. Il pense quand même qu’il y a quelque chose de différent chez cette fan là. Parce qu’elle lui a dit exactement ce qu’il voulait entendre, comme le faisait Kyouko.

Kyouko, mode démon X 10000 (ça fait même flipper sa collègue), laissant ses petits démons voltiger dans tous les sens, avec le mot revanche écrit dessus, n’en revient toujours pas qu’il ne l’ait pas reconnu, réalisant qu’elle n’existe même plus pour lui. Et tape sur la table en criant que c’est injuste (elle est revenue chez elle).
Elle repense à sa revanche, et au fait qu’elle ne peut plus intégrer la LME, mais que malgré tout, elle ne veut pas le laisser s’en tirer comme ça
Des petites Kyouko courent dans un labyrinthe, totalement perdues : « Que dois-je faire ? »
Le patron arrive alors, lui disant que si elle est perdue, c’est parce qu’elle ne veut pas abandonner, et qu’elle ne doit pas y réfléchir autant, mais juste faire ce qu’elle veut. De ne pas se dire « Je ne peux pas le faire, je n’en suis pas capable », parce que c’est ce que les gens qui n’essayent jamais se disent. Il lui demande si elle a un objectif à atteindre.
Le regard de Kyouko redevient confiant. « Si tu te retrouves coincée en chemin, ce mur, tu n’as qu’à le détruire »
Kyouko, la fille qui n’abandonne jamais, est de retour !
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